SeDit D'une Viande Avec Des Sillons De Graisse Se Dit D'une Viande Parsemee De Petits Filaments De Graisse Viande Cuite A La Graisse Qu On Tartine Se Dit D Une Viande Avec Des Sillons De Graisse Conserver Ses Distances Conserver Ses Distance Conserver Un Anmal Servait A Conserver Les Momies Bien Conserver Conserver Dans Le Meme Moyen De LesLoges du Park - Appart Hotel Aix les Bains3,8(108)À 2,6 km26 116 HUF. sam conduite signification; Excel formule mois en lettre; VILLAGE VACANCES YALOER4,0(89)À 0,9 km; immobilier roumoules (04500) manger que des fruits et lĂ©gumes pendant un mois; association jeune maman; eau la française; camping sauvage oka; office du tourisme les Onpeut y ajouter un peu de panne.L'oignon est un peu confit dans la graisse. On obtient donc une pĂąte comme du saindoux, mais qui ressemble plus Ă  une texture de beurre, alors que la graisse salĂ©e crue a plus un aspect de mousse; elle est plus onctueuse. Cette graisse cuite se conserve plus longtemps, au frais 3-4 semaines, sans problĂšme TartinesĂ  l'Époisses Une tartine lĂ©gĂšrement beurrĂ©e, un trait de vin blanc sec, une tranche de jambon sec, des rondelles de pommes de terre, et un morceau d'Époisse. La tartine est mise au four, pour faire fondre le fromage sur les pommes de terre, et rendre le pain croustillant. 185K 4 4.1 1 heure 26 min. 10 Mai 2014 Laknack, est une spĂ©cialitĂ© culinaire alsacienne dont les origines remontent au XVIe siĂšcle. Il s'agit d'une saucisse longue et fine Ă  base de viande de bƓuf et de porc. Indispensable Ă  toute choucroute garnie, elle est aussi consommĂ©e telle quelle, chaude ou froide, avec un peu de moutarde et de pain frais. Sa chair particuliĂšrement fine et dĂ©licate en fait le bonheur des petits Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Cuisiner est perçu comme un art Celui de savoir crĂ©er une harmonie entre les saveurs
 et de prĂ©senter les aliments d’une maniĂšre qui fasse envie. Je ne suis pas douĂ© pour ça. Et j’admire les gens qui ont ce genre de talent. LĂ  oĂč je m’en sors mieux, en revanche, c’est sur la dimension chimie en cuisine. Car cuisiner, c’est aussi ĂȘtre bon en chimie appliquĂ©e pour monter les Ɠufs en neige maintenir la bonne tempĂ©rature pour rĂ©ussir sa crĂšme anglaise utiliser la RĂ©action de Maillard pour donner aux viandes grillĂ©es leur saveur incroyable rĂ©aliser une vinaigrette par Ă©mulsion rĂ©ussir une gelĂ©e de groseilles stimuler les bactĂ©ries de fermentation pour faire une choucroute la marinade qui rend la viande tendre et goĂ»tue utiliser des levures pour faire gonfler une pĂąte Ă  brioche Aujourd’hui j’aimerais parler des erreurs de cuisson. Mal cuire donne un mauvais goĂ»t aux aliments. Mais c’est aussi catastrophique pour la santĂ©. Les pires graisses de cuisson La cuisson Ă  haute tempĂ©rature peut modifier la structure chimique des aliments et crĂ©er de nouvelles substances potentiellement toxiques. D’oĂč l’importance de choisir une huile qui rĂ©siste Ă  la chaleur. Et de ne pas dĂ©passer son point de fumĂ©e ». Voici le point de fumĂ©e des graisses courantes [1] MatiĂšre grasse Point de fumĂ©e Huile d’avocat 271°C Huile de son de riz 254°C Huile de palme 235°C Huile de noisette 221°C Huile de colza 220°C Huile d’amande 216°C Huile de graines de coton 216°C Huile de pĂ©pins de raisin 216°C Huile de macadamia 210°C Suif – graisse de boeuf 210°C Huile d’olive extra vierge vierge 191°C 216°C Graisse de canard ou d’oie ou de poulet 190°C Saindoux – graisse de porc 190°C Saindoux – graisse de porc 182°C Graisse alimentaire vĂ©gĂ©tale 182°C Huile de noix de coco vierge raffinĂ©e 177°C 232°C Huile de sĂ©same 177°C Huile de chanvre 165°C Huile de maĂŻs raffinĂ©e 160°C 232°C Huile d’arachide raffinĂ©e 160°C 232°C Huile de soja raffinĂ©e 160°C 232°C Huile de noix 160°C Beurre clarifiĂ© 130°C 252°C Huile de lin 107°C Huile de tournesol vierge raffinĂ©e 107°C 232°C Huile de carthame raffinĂ©e 107°C 266°C Pour accompagner ce tableau, voici un dĂ©tail des tempĂ©ratures couramment utilisĂ©es Dans un restaurant, les pizzas peuvent ĂȘtre cuites Ă  plus de 400°C. Dans un four mĂ©nager, les pizzas cuisent Ă  250-300°C, la tempĂ©rature maximale. La tempĂ©rature pour les fritures dans l’huile reste sous les 200°C. Les frites sont idĂ©alement cuites une premiĂšre fois Ă  130°C pour cuire l’intĂ©rieur, puis une deuxiĂšme Ă  190°C pour dorer l’extĂ©rieur sans les brĂ»ler. Un steak se cuit Ă  feu vif », c’est-Ă -dire aux alentours de 180°C. Et pour du poulet, plutĂŽt Ă  160°C feu moyen vif. Pour faire revenir un oignon, la tempĂ©rature est entre 100 et 150°C. C’est la dĂ©finition du feu moyen » [3]. Pour mijoter, la tempĂ©rature reste sous les 100°C – feu bas ». Pour une flamme, la tempĂ©rature varie en fonction de la couleur bleue 2 000°C jaune et rouge 1 000°C A prĂ©sent, vous ĂȘtes en mesure d’identifier les graisses avec lesquelles il ne faut jamais cuire Ă  haute tempĂ©rature. Par exemple, le beurre fume Ă  130°C. Il est donc inadĂ©quat pour cuire Ă  feu vif. De façon gĂ©nĂ©rale, les huiles raffinĂ©es ont un point de fumĂ©e plus Ă©levĂ© que les huiles vierges, mais elles sont moins bonnes pour la santĂ©. Les pires graisses de cuisson sont les graisses raffinĂ©es, blanchies et dĂ©sodorisĂ©es. Certes, elles rĂ©sistent bien Ă  la chaleur, mais elles accĂ©lĂšrent le vieillissement prĂ©maturĂ© de votre corps. Et n’oubliez pas qu’elles sont largement utilisĂ©es par l’industrie agro-alimentaire dans les aliments transformĂ©s et les plats prĂ©parĂ©s. N’abusez pas des grillades Le barbecue est devenu un pilier de notre culture dĂ©sormais amĂ©ricanisĂ©e. Il est le vecteur » de nos relations sociales. Il est aussi objet de convoitise il y a ceux qui possĂšdent le Weber
 et il y a les autres
 Le problĂšme des barbecues, c’est qu’ils sont catastrophiques Ă  long terme pour la santĂ©. En effet, la viande dite bien cuite » est souvent trop cuite. Or Ă  trĂšs haute tempĂ©rature, on voit se former deux molĂ©cules cancĂ©rigĂšnes Ă  sa surface les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les acides aminĂ©s hĂ©tĂ©rocycliques. Le risque est limitĂ©, et comme pour le beurre, c’est la frĂ©quence de consommation qui fera la diffĂ©rence. Comment survivre Ă  un barbecue Une prĂ©caution essentielle est de toujours Ă©viter le contact entre la viande et la flamme. Pour cela, utilisez les crans du haut pour fixer votre grille. Une autre astuce consiste Ă  consommer deux portions de lĂ©gumes pour une portion de viande. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les cuissons douces permettent de prĂ©server l’intĂ©gralitĂ© des nutriments. Par cuisson douce », j’entends cuisson Ă  la vapeur, Ă  l’étouffĂ©e, en papillote, au four ou mijotĂ©e
 Le type de matiĂšre grasse Ă  choisir dĂ©pend de la viande Ă  cuire et son utilisation dĂ©pend du type d’ustensile de cuisson choisi. La viande d’agneau aime l’huile d’olive. Le porc peut ĂȘtre cuit au saindoux. Pour le bƓuf, la viande de cheval et le veau, il est prĂ©conisĂ© d’utiliser un mĂ©lange d’huile neutre, type pĂ©pins de raisins, et de beurre. Ce mĂ©lange permet au beurre de monter plus haut en tempĂ©rature sans brĂ»ler. DĂ©buter la cuisson de la viande Ă  feu vif avec uniquement un peu d’huile puis, lorsqu’une croĂ»te s’est formĂ©e sur les 2 faces, abaisser le feu et ajouter seulement du beurre. Poursuivre la cuisson en arrosant rĂ©guliĂšrement votre viande de matiĂšre grasse afin de la nourrir. L’utilisation de beurre clarifiĂ© permet Ă©galement de limiter les risques que ce dernier ne brĂ»le. En cas de cuisson au gril, enrober lĂ©gĂšrement la viande de matiĂšre grasse avant de la dĂ©poser ou huiler votre gril au pinceau. DĂ©modĂ©es les culpabilitĂ©s devant des repas calculĂ©s au pĂšse-lettres. Finies les inventions culinaires alambiquĂ©es. “Out” la furie de la cuisine molĂ©culaire. Du vrai, de l’authentique, la France redĂ©couvre ses classiques. Pas si classique cela dit
Les pĂątĂ©s, terrines, ballotines et galantines Furieusement “tendance” Il a tout pour plaire, le pĂątĂ© zĂ©ro prĂ©paration, des saveurs “bien de chez nous” qui parlent de terroir, d’enfance et de gourmandises oubliĂ©es Champion de la convivialitĂ© Il s’attable sympa, avec les copains qui arrivent Ă  l’improviste le dimanche. Il s’impose aux banquets de troisiĂšmes mi-temps des sportifs, il s’habille de dimanche pour les fĂȘtes familiales et met tout le monde d’accord pour combler les petites faims des enfants et de leurs aĂźnĂ©s. Il a un sacrĂ© caractĂšre, mais sait se plier Ă  tous les caprices LĂ©ger comme un soufïŹ‚e pour satisfaire les appĂ©tits d’oiseau, rustique ou gĂ©nĂ©reux pour ceux qui ont un bon coup de fourchette, subtil ou sophistiquĂ© pour les palais les plus dĂ©licats, aussi Ă  l’aise chez les “tradi” que chez les ”branchĂ©s“ Complice de tous les instants Il suit le mouvement. Partout dans la lunch box du dĂ©jeuner sur le pouce, dans le sac du randonneur, dans le panier des pique-niques
 Il se met en cinquante pour sĂ©duire Avec une inïŹnitĂ© de recettes, le savoir-faire de tous, il se rĂ©invente en permanence, offrant Ă  nos gourmandises une variĂ©tĂ© inouĂŻe de saveurs et de textures. Il est toujours prĂȘt ! Dans le placard Ă  provisions ou au rĂ©frigĂ©rateur, en conserve, en verrine, sous vide, il attend son heure. “Bien de chez nous“, complices, fĂ©dĂ©rateurs, nomades, vite prĂȘts, gourmands, normal qu’ils soient si “tendance” les terrines et le pĂątĂ©. Ils sont des vedettes de ces gourmandises charcutiĂšres qui vous apportent beaucoup plus que du plaisir
 HistoriqueToute une histoire D’hier Ă  aujourd’hui Les Grecs n’aimaient que la viande grillĂ©e. Et les Romains ? On dit que NĂ©ron, qui n’avait pas que des dĂ©fauts, raffolait du pĂątĂ©. L’usage, dans les familles riches de consommer des prĂ©parations Ă  base de viande de porc, d’agneau, de canard ou de hure de sanglier est, semble-t-il, postĂ©rieur Ă  la dĂ©couverte des dĂ©lices de la charcuterie gauloise. Le mot “pĂątĂ©â€ vient, Ă  l’origine, de la pĂąte dont on entourait la prĂ©paration de viande cuite hachĂ©e et lardĂ©e aïŹn, explique, Ă  la ïŹ n du XIVe, le Mesnagier de Paris “de rendre la prĂ©paration plus tendre et du meilleur goĂ»t et la conserver plus longtemps” La confection du pĂątĂ© au Moyen Âge est encore affaire de professionnel. On apporte la viande bouillie chez le pĂątissier avec pour mission de la “menuement mincer et dĂ©trencher” . La pĂąte fait ofïŹce de contenant. Elle est dure, et on ne la consomme pas. Mais dĂšs le XVIe siĂšcle, elle fait le bonheur des travailleurs de la ville. Le mĂ©tier de pĂątissier largement ambulant permet la consommation rapide pour les travailleurs avides de manger vite. “La viande achetĂ©e cuite et prĂ©parĂ©e coĂ»te moins cher que celle qu’on achĂšte crue au marchĂ©. Ainsi, le chĂ©tif ouvrier peut manger gras ou maigre aussi bien que le bourgeois”explique un ambassadeur vĂ©nitien de passage Ă  Paris. La sophistication des prĂ©parations va faire de ces “pĂątisseries” , des plats si recherchĂ©s qu’il devient d’usage de se les offrir en cadeaux entre seigneurs. Au XVIIIe siĂšcle, le pĂątĂ©, devient trĂšs “people” . On crĂ©e pour des personnages cĂ©lĂšbres des spĂ©cialitĂ©s qui portent leur nom. On confectionne ainsi des pĂątĂ©s Ă  la Mazarine, Ă  la Cardinal, Ă  la Reine.. Un savoir faire charcutier français Un grand principe, d’inïŹnies dĂ©clinaisons Le principe du pĂątĂ©, c’est une viande ou des abats, du gras, des liants et des assaisonnements, hachĂ©s, mĂȘlĂ©s et mis Ă  cuire longtemps dans diffĂ©rents contenants. En pratique, les variations sur le thĂšme sont inïŹnies. RĂ©glementation QualitĂ© et traçabilitĂ© des matiĂšres premiĂšres, contrĂŽles sanitaires d’un bout Ă  l’autre de la chaĂźne de fabrication, toutes les exigences nutritionnelles de la gastronomie moderne sont devenues des musts incontournables. Il appartient Ă  chaque producteur d’interprĂ©ter selon son talent ce chef-d’Ɠuvre du quotidien culinaire. Le Code des Usages de la charcuterie ïŹxe des rĂšgles et la composition prĂ©cises pour chaque dĂ©nomination de vente. Les artisans, comme les industriels ont mis leur point d’honneur Ă  dĂ©ployer pour lui toute l’étendue d’un savoir-faire qui emprunte Ă  la tradition ses recettes et ses coups de main, mais rationalise la fabrication avec des process oĂč rien n’est laissĂ© au hasard. DĂ©cisif, le choix de la matiĂšre premiĂšre Les matiĂšres premiĂšres sont choisies en fonction de la recette gorges, gras foie pour le pĂątĂ© de campagne traditionnel, les pĂątĂ©s forestiers, les mousses et les crĂšmes ; viande maigre, poitrine, jambon pour les pĂątĂ©s de chair. Les viandes, qu’elles soient de porc ou de volaille, sont sĂ©lectionnĂ©es avec minutie. Les producteurs les plus exigeants choisissent du porc” fermier” ou “Label Rouge” dont l’élevage rĂ©pond Ă  des normes d’alimentation et de conditionnement trĂšs rigoureuses. De mĂȘme, les volailles sont le plus souvent “fermiĂšres” ou “Label Rouge” dans les pĂątĂ©s supĂ©rieurs. La qualitĂ© de la matiĂšre premiĂšre est dĂ©cisive Les pĂątĂ©s Ă  l’ancienne s’interdisent l’utilisation de viandes surgelĂ©es, la plupart des pĂątĂ©s sont rĂ©alisĂ©s aujourd’hui Ă  partir de matiĂšre premiĂšre fraĂźche. Le choix des “gras” se fait en fonction de la spĂ©cialitĂ©. Ce choix est particuliĂšrement important car il est porteur de goĂ»t. Pour les pĂątĂ©s Ă  gros grains oĂč le gras doit rester apparent, on choisit la graisse compacte de l’épaule ou du col que l’on Ă©chaude avant de la hacher aïŹn de lui conserver sa tenue, ou prĂ©fĂšre le gras de poitrine pour les prĂ©parations demandant une texture plus souple, et du gras de longe pour confectionner les bardes. Le gras de jambon donnera des prĂ©parations plus parfumĂ©es que le gras de col ou de poitrine. Les liants sont naturels, dans toutes les prĂ©parations dites “traditionnelles” ou Ă  l’ancienne Ɠufs, laits ou farine ou fĂ©cules. Elles peuvent ĂȘtre remplacĂ©es par des liants minĂ©raux ou liants cellulosiques dans les pĂątĂ©s d’entrĂ©e de gamme. Un art de prĂ©cision Les proportions des diffĂ©rents ingrĂ©dients, dans les limites dĂ©ïŹnies par le Code des Usages de la Charcuterie, comme l’assaisonnement, sont laissĂ©es Ă  l’initiative de chaque fabricant. L’assaisonnement ne doit en effet pas masquer le goĂ»t de la viande. Il doit simplement le relever. Le trop salĂ©, trop Ă©picĂ©, les herbes en trop grandes quantitĂ©s dĂ©naturent la saveur. Dans le cadre d’une fabrication industrielle, une fois Ă©laborĂ©e au gramme prĂšs, la recette est “mĂ©morisĂ©e” sur ordinateur aïŹn d’assurer une qualitĂ© constante Ă  la prĂ©paration. Les tempĂ©ratures, temps et programmes de cuisson sont de la mĂȘme maniĂšre programmĂ©s dans les grands fours oĂč viendront se cuire terrines et pĂątĂ©s en moule. Le hachage Ă  l’échelle industrielle des chairs et des graisses reproduit le hachage “maison” . À une diffĂ©rence prĂšs le hachage “au cutter” pratiquĂ© en usine permet de rĂ©aliser des hachages ultraïŹns qui donnent leur lĂ©gĂšretĂ© aux mousses de pĂątĂ©. Des terrines et des moules Le choix du moule inïŹ‚uence la texture et la saveur. En terrine plastique, le pĂątĂ© est plus sec. La chaleur qui pĂ©nĂštre plus vite au cƓur du pĂątĂ© et le refroidissement plus rapide ne permettent pas la mĂȘme Ă©volution nuancĂ©e des saveurs. La terre cuite de la terrine fait barriĂšre Ă  une montĂ©e en chaleur trop rapide au dĂ©but de la cuisson. La diffusion progressive de la tempĂ©rature jusqu’au cƓur du pĂątĂ© permet un dĂ©veloppement des saveurs. C’est pour cette raison que la cuisson en grandes terrines est prĂ©fĂ©rĂ©e aux petits formats pour un rĂ©sultat encore plus goĂ»teux. La prĂ©sentation en frais emballĂ© de grandes tranches prĂ©emballĂ©es permet de proposer la qualitĂ© des grandes terrines “à l’ancienne” aux mĂ©nagĂšres d’aujourd’hui. En verrines bocal verre stĂ©rilisĂ©, comme en barquettes de fer-blanc, la prĂ©paration est “poussĂ©e” mĂ©caniquement dans le contenant. La cuisson en autoclave est plus rapide. La pĂąte, plus “choquĂ©e” n’a pas autant de loisir d’exprimer ses arĂŽmes. Inimitable, le savoir-faire traditionnel Pour aĂ©rer la pĂąte du pĂątĂ© et autoriser Ă  la cuisson la fermentation qui dĂ©veloppera les saveurs, rien ne vaut le moulage de la pĂąte Ă  la main. Dans les usines oĂč sont fabriquĂ©s les pĂątĂ©s de campagne ou terrines “à l’ancienne”, cette Ă©tape n’a pas Ă©tĂ© mĂ©canisĂ©e, pas plus que l’application d’une inïŹme couche de caramel qui donnera au pĂątĂ© tout son dorĂ© de surface. Le pĂątĂ© de campagne Des secrets de fabrication trĂšs codiïŹĂ©s Il a autant de recettes que de chefs. Mais pour justiïŹer son appellation, le pĂątĂ© de campagne doit rĂ©pondre Ă  des normes prĂ©cises ‱ Un hachage gros grains grille de 4 mm minimum qui inclut les chairs et graisses dans une farce ïŹ ne qui ne doit pas reprĂ©senter plus de 40 % du produit Ă  la mise en Ɠuvre. ‱ De la viande de porc, Ă  l’exclusion de toute autre viande, avec, selon les spĂ©cialitĂ©s rĂ©gionales, plus ou moins de foie ou d’abats. ‱ Des liants, exclusivement naturels, pour les pĂątĂ©s “à lancienne” qui imposent le moulage Ă  la main, des modes de cuissons douces 95 degrĂ©s environ et lentes de 6 Ă  8 heures environ pour une terrine de 6 kg qui lui donnent sa saveur et son moelleux. Pour plus de renseignements sur les diffĂ©rentes dĂ©nominations de pĂątĂ©s, voir la partie rĂ©glementation sur les pĂątĂ©s ! Des dĂ©licatesses, avec du punch Son tempĂ©rament n’aime pas les miĂšvreries mais sa rusticitĂ© sait se nuancer de subtilitĂ©s. Il Ă©pice son goĂ»t ‱ De condiments, sel parfois de GuĂ©rande ou de Noirmoutier, des poivres, baies Ă©pices variĂ©es, ‱ D’alcools vin jaune du Jura, vin blanc, Armagnac, Cognac, liqueur de geniĂšvre, ‱ D’herbes persil, thym, marjolaine ou sauge, ‱ De champignons cĂšpes morilles ou truffes ou de fruits secs noisettes, noix, chĂątaignes etc.. Un vĂ©ritable esprit de famille Chaque rĂ©gion a ses recettes de campagne. Certaines spĂ©cialitĂ©s locales sont devenues des gloires nationales ‱ Le PĂątĂ© Breton le plus connu des pĂątĂ©s de campagne, est fabriquĂ© exclusivement Ă  partir de viande et de foie de porc. Toujours cuit au four, l’une de ses particularitĂ©s Ă©tant l’échaudage des gras ou pochage. ‱ Le PĂątĂ© Rennais doit obligatoirement comporter 1/3 de foie et de cƓur et 10 % de couenne de porc et beaucoup de persil. ‱ Le PĂątĂ© Jurassien impose un minimum de 15 % de viande de foie de porc et 3 % de vin du Jura. Il va si bien
 Aux familles qui apprĂ©cient d’en faire leur plat unique vite fait du dimanche soir et l’accompagnent d’une belle salade et de cornichons. Aux tribus qui en font le plat de rĂ©sistance des pique-niques de l’étĂ©. Aux sportifs qui improvisent une troisiĂšme mi-temps “bien de chez eux” qui a les saveurs d’un terroir dont ils dĂ©fendent haut les couleurs. Aux cadres pressĂ©s mais nĂ©anmoins gourmets, qui en font d’ordinaire leurs dĂ©jeuners sur le pouce. Aux adeptes du brunch qui adorent y associer diverses cruditĂ©s au rythme des saisons asperges, radis noirs, carottes, champignons de Paris, etc. RĂ©glementation sur les pĂątĂ©s Le Code des usages de la charcuterie salaison et des conserves de viandes dĂ©finit de nombreuses appellations pour les pĂątĂ©s. Les principales dĂ©nominations avec leurs contraintes rĂ©glementaires sont recensĂ©es dans le tableau ci-dessous. Autres Ă©lĂ©ments rĂ©glementaires Teneur en gras lipides 40% maximum si le pĂątĂ© est vendu avec la mention supĂ©rieur » ; 45% maximum si le pĂątĂ© est vendu sans la mention supĂ©rieur ». Pur » par exemple pĂątĂ© pur porc Une seule espĂšce animale doit ĂȘtre utilisĂ©e maigre, gras et abats dans la recette le lait et les Ɠufs sont cependant tolĂ©rĂ©s quelle que soit la dĂ©nomination du pĂątĂ©. RĂ©fĂ©rence Ă  un ingrĂ©dient de type viande Dans le cas oĂč la dĂ©nomination de vente fait rĂ©fĂ©rence Ă  un ingrĂ©dient de type viande pĂątĂ© de foie, pĂątĂ© de chevreuil, pĂątĂ© de chair supĂ©rieur
 il faudra faire apparaĂźtre le % de cet ingrĂ©dient dans la liste des ingrĂ©dients. Le % est celui au moment de la mise en fabrication. PĂątĂ© de canard ou toute autre volaille Le maigre et le foie de canard doivent reprĂ©senter au moins 15% de la de canard supĂ©rieur ou toute autre volaille Le maigre et le foie de canard doivent reprĂ©senter au moins 20% de la de chair Aucun abat ne doit ĂȘtre prĂ©sent dans la recette uniquement du gras et du maigre ; les contraintes de l’appellation supĂ©rieur » doivent ĂȘtre respectĂ©es. PĂątĂ© ou terrine de jambon Aucun abat ne doit ĂȘtre prĂ©sent dans la recette uniquement du gras et du maigre ; les contraintes de l’appellation supĂ©rieur » doivent ĂȘtre respectĂ©es ; le jambon doit reprĂ©senter au moins 20% de la recette. Si terrine » de jambon, il faut Ă©galement respecter les contraintes du mot terrine cf. tableau ci-dessus PĂątĂ© aux 
 chĂątaignes, champignons
 le maximum en chĂątaigne est de 40%, le minimum n’est pas Ă©crit rĂ©glementairement, mais l’ingrĂ©dient doit ĂȘtre en quantitĂ© suffisante » pour les chĂątaignes 8% est habituel Mentions particuliĂšres Authentique », vĂ©ritable » pĂątĂ© de
 suivi d’un nom de ville ou de rĂ©gion la rĂ©glementation du supĂ©rieur » s’applique ; le pĂątĂ© doit ĂȘtre fabriquĂ© dans la ville ou la rĂ©gion. [Attention de nombreuses appellations de pĂątĂ©s pĂątĂ© de Chartres, d’Amiens, de Bourgogne, breton, du Jura
, ont des contraintes particuliĂšres se renseigner au prĂ©alable pour leur emploi] Traditionnel » les ingrĂ©dients gras, maigre et abats doivent ĂȘtre frais et non pas congelĂ©s ; le lait, les Ɠufs, le sang de porc s’ils sont utilisĂ©s doivent ĂȘtre frais ; autres liants autorisĂ©s farine, fĂ©cule, gelĂ©e et gĂ©latine ; additifs autorisĂ©s salpĂȘtre nitrate, sel nitritĂ©, acide ascorbique et colorant caramel ; pas d’arĂŽmes artificiels ; la rĂ©glementation du supĂ©rieur » doit ĂȘtre respectĂ©e. A l’ancienne » comme autrefois » identique au traditionnel », les ingrĂ©dients gras, maigre et abats doivent ĂȘtre frais et non pas congelĂ©s ; seul le gibier peut ĂȘtre utilisĂ© congelĂ© ; la rĂ©glementation du supĂ©rieur » doit ĂȘtre respectĂ©e ; possibilitĂ© de colorer la croĂ»te sucre, jaune d’Ɠuf, caramel ; possibilitĂ© de glaçage Ă  la gelĂ©e et de faire des dĂ©cors avec des vĂ©gĂ©taux. Autres appellations pĂątĂ© en croĂ»te ; pĂątĂ© de tĂȘte ; pĂątĂ© avec du foie gras ; fagot, caillettes, boulettes, confit, ballottines, galantines, suprĂȘmes de.., mousse de.., crĂšme de 
 [Pour toutes ces appellations assimilables Ă  des pĂątĂ©s il convient de consulter la rĂ©glementation code des usages de la charcuterie salaison et des conserves de viandes]. Le pĂątĂ© de foie Le pĂątĂ© de foie Texture mousseline, teint de pĂȘche, tout en rafïŹnement. Le basique vintage des repas d’enfance se rĂ©invente, irrĂ©sistiblement mode. Son trait de caractĂšre La ïŹnesse de sa texture, qui rĂ©sulte d’un hachage dit ӈ grain ïŹ n” et son fondant aĂ©rien qu’il doit Ă  l’adjonction de liants particuliers et aux techniques qui oxygĂšnent sa pĂąte. Tout doux, il cache bien son jeu. C’est un grand costaud riche en fer. Le tout avec un chic absolu ! Il s’accessoirise Fondant sur une baguette bien fraĂźche ou de pains aux fruits au dĂ©jeuner. Complice en lĂ©gĂšretĂ© avec des pousses d’épinards, des Ă©mincĂ©s de fenouil ou de champignons, pour la touche “verte” ou pour jouer le contraste fondant/croquant. SucrĂ© salĂ© avec quelques grains de raisin blanc d’Italie ou des lamelles de pommes pour des entrĂ©es rafïŹnĂ©es. Ses secrets de fabrication ‱ Le hachage de foies et des graisses ultra-ïŹ n se fait “au cutter”, et mĂȘle intimement les arĂŽmes Ă©chalotes revenues dans du beurre, sel, poivre et les liants Ɠufs, fĂ©cule, lait ou crĂšme. ‱ Un procĂ©dĂ© injecte de l’air dans la pĂąte pour l’allĂ©ger. ‱ La cuisson lente, qui dĂ©veloppe les arĂŽmes, se fait pendant 5 Ă  6 heures, au four, Ă  l’étuvĂ©e Ă  76 degrĂ©s, dans de longs moules tapissĂ©s d’une barde de porc. Un certain esprit de famille ‱ On trouve des “pĂątĂ©s”, des “mousses” et des crĂšmes de foie. Ces dĂ©nominations, qui ne correspondent Ă  aucune rĂ©glementation particuliĂšre, sont laissĂ©es Ă  la libre fantaisie du fabricant et du distributeur. ‱ Certains mettent un point d’honneur Ă  mettre de la crĂšme fraĂźche dans les crĂšmes. ‱ Penchez-vous sur la tranche de pĂątĂ© qui vous est proposĂ©e. De minuscules petits trous indiquent que la lente cuisson a permis une fermentation qui exalte les saveurs du pĂątĂ©. Il va si bien
 Aux “fashionistas” qui le tartinent, lĂ©ger, en ïŹ ne couche sur de ïŹ nes tranches de pain de mie ou un cracker suĂ©dois ou le dĂ©posent sur des feuilles d’endives, telles des barquettes. Aux seniors dont le petit appĂ©tit et la moindre envie de sortir la batterie de cuisine pour se faire Ă  dĂźner se ravissent d’y trouver sous un petit volume l’apport en protĂ©ines dont ils sont souvent en manque. Aux petits loups qui savourent d’un bon appĂ©tit cette mousse qui se dĂ©guste sans effort de quenottes. Aux maĂźtresses de maison pressĂ©es qui tartinent les sandwichs du pique-nique ou qui improvisent un buffet rafïŹnĂ© Ă  petit prix en en garnissant des navettes de pain au lait. Le pĂątĂ© forestier Le pĂątĂ© forestier Avec sa trĂšs ïŹ ne mosaĂŻque de viandes et de champignons, il invente en de savantes compositions des alliances subtiles de saveurs et de textures aux parfums d’automne. Un vrai caractĂšre Ce vrai virtuose qui ïŹ‚eure bon l’automne et les sous-bois sait jouer une symphonie de saveurs et de textures pour Ă©moustiller gaiement les papilles. Un chef-d’Ɠuvre d’équilibre ! Il s’accessoirise Rustique avec de larges tranches de pain de campagne grillĂ©es, une conïŹ ture d’oignons ou une frisĂ©e. RafïŹnĂ© sur des tartines de baguette viennoise, ou de pain briochĂ© accompagnĂ©e d’Ɠuf coque ou cocotte, d’asperges vertes assaisonnĂ©es d’un trait d’huile d’olive et de vinaigre balsamique ou d’émincĂ©e de cƓur d’artichaut. Chasseur en accompagnant d’une marmelade d’airelles ou de carrĂ©s de pĂąte de coing, une terrine de sanglier ou de liĂšvre forestiĂšre. Familial accompagnĂ© d’une salade de pommes de terre vitelotte ou de carottes, d’une Ă©mincĂ©e de radis noirs ou de champignons de Paris crus agrĂ©mentĂ©s de persil. Des secrets de fabrication bien gardĂ©s ‱ Pour avoir la dĂ©nomination de pĂątĂ© forestier, un pĂątĂ© doit contenir des champignons sylvestres cĂšpes, bolets, morilles, trompettes de la mort, lactaires dĂ©licieux, etc. dans une proportion entre 1 et 10 % de la prĂ©paration. ‱ Dans la mesure oĂč rien n’impose une texture particuliĂšre aux pĂątĂ©s forestiers, certains ont pour base une farce qui les apparente plutĂŽt Ă  des mousses, d’autres Ă  des pĂątĂ©s de campagne. Les diffĂ©rences se voient
 Ă  l’Ɠil nu et s’apprĂ©cient selon que l’on aime des saveurs lĂ©gĂšres tout en subtilitĂ© ou la franchise de goĂ»ts de champignons plus “tranchĂ©s” Il va si bien
 Aux nostalgiques des gourmandises d’autrefois au temps oĂč les grands-mĂšres confectionnaient leurs terrines avec les produits de la cueillette des champignons Aux gastronomes en culottes courtes qui s’initient avec lui Ă  la dĂ©couverte des textures et des saveurs. Aux mamans en panne d’imagination ou de temps qui en font une entrĂ©e rapide mais rafïŹ nĂ©e des repas de famille du dimanche. Aux citadines pragmatiques qui, misant sur une hypothĂ©tique cueillette miraculeuse, prĂ©voiront une belle tranche de pĂątĂ© forestier pour faire illusion. Galantines et ballotines Galantines et ballotines RĂ©solument festives, elles sont l’expression luxe de l’art charcutier. Un vrai caractĂšre Avec des matiĂšres premiĂšres nobles triĂ©es sur le volet, des architectures Ă©laborĂ©es comme autant d’Ɠuvres d’art, des ïŹnesses de dĂ©tails qui impriment Ă  chacune un style sans comparaison, elles sont la Haute Couture de la charcuterie Elles s’accessoirisent Gourmettes avec des toasts de pain briochĂ© ou de brioche, des petits pains au lait qui rĂ©haussent la douceur du foie gras, Ă  accompagner de ïŹgues fraĂźches, de lamelles de fond d’artichaut. Fantaisistes avec une collection de petits pains aux cĂ©rĂ©ales, aux graines de sĂ©same ou de cumin ou pourquoi pas de ïŹnes tranches de pain d’épices. À accompagner d’une jolie salade verte aux pignons ou aux noisettes. Traditionnelles accompagnĂ©es de tranches de pain complet grillĂ© ou de pain de campagne aux raisins, de petits lĂ©gumes au vinaigre et d’une TrĂ©vise assaisonnĂ©e d’un trait de vinaigre balsamique. SophistiquĂ©es avec de belles asperges blanches aromatisĂ©es d’une vinaigrette Ă  l’orange pour glamouriser une galantine de poulet ou de ris de veau. SucrĂ©es salĂ©es avec une salade orange et oignons doux Ă  la cannelle pour jouer le contraste avec une terrine de gibier. Top secrets de fabrication ‱ La composition de ces ballotines et galantines est un secret jalousement gardĂ© par chaque chef cuisinier. La fantaisie de chacun prime sauf un dĂ©tail la masse maigre du produit doit au moins ĂȘtre Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  35 % du total. Pour le reste, le pouvoir est Ă  l’imagination. ‱ Les charcutiers peuvent donner Ă  leurs prĂ©parations des formes diverses silhouette de lapin, de canard ou d’oie, y mĂȘler des vĂ©gĂ©taux, carottes, petits pois, champignons, truffes, des fruits secs, noisette, pistache, amandes et divers condiments, poivres ou baies. ‱ Les ballotines et galantines sont ensuite cuites au torchon dans des bouillons de volaille et de lĂ©gumes. Une grande famille ‱ Il y a des ballotines et galantines au foie gras d’oie et de canard, des ballotines ou galantines de foie de canard maigre, et qui doivent obligatoirement le prĂ©ciser Ă  la vente, des ballotines “de volaille”, “de lapin” , “de gibier”, “de jambon” ou “de ris de veau”, qui doivent comporter au moins 20 % du produit pour justiïŹer l’appellation “de” ou se contenter de l’appellation “au” si ce pourcentage est infĂ©rieur. ‱ Le cou d’oie farci, qui lui, est cuit dans de la graisse d’oie et le cou de canard farci pĂ©rigourdin qui doit comporter un minimum de 10 % de foie gras dans sa farce en sont des variantes. Elles vont si bien
 Aux fĂȘtes carillonnĂ©es pour lesquelles elles se parent de dĂ©cors de circonstance et offrent la surprise de leurs dĂ©lices rafïŹnĂ©s. Aux grandes tablĂ©es qui peuvent gĂ©nĂ©reusement se partager le luxe de leurs matiĂšres premiĂšres d’exception pour un tarif moins prohibitif que dans leur prĂ©sentation “brute” . Aux amoureuses et aux amoureux qui l’invitent Ă  un petit tĂȘte Ă  tĂȘte rafïŹnĂ© qui les dispense de se mettre en frais en sortant les casseroles. Aux dĂźners entre copines oĂč elles font merveille sur des plateaux tĂ©lĂ©, succincts et pourtant sophistiquĂ©s. Manger du pain tout seul, sans fromage, confiture, beurre, pĂąte chocolatĂ©e ou autres
 ne fait grossir que si nous sommes dans l’excĂšs. Si cette consommation est raisonnable et n’est pas associĂ©e Ă  d’autres sources de glucides complexes sucres lents elle ne fait pas grossir !La quantitĂ© prĂ©conisĂ©e est de +/- 120 g/jour pour les femmes et de +/- 170 gr/jour pour les en mangeant du pain dans un rĂ©gime, comment ça fonctionne ?J’ai suivi pendant quelques mois un rĂ©gime alimentaire dans lequel le pain Ă©tait interdit. C’était trĂšs dur de rĂ©sister Ă  l’odeur du pain frais ! Le pain reprĂ©sente un apport calorique important, entre 250 et 280 calories pour 100 g, ce qui devrait le proscrire des rĂ©gimes contraire, c’est grĂące Ă  ses nombreuses qualitĂ©s, essentielles au bon fonctionnement de l’organisme qu’il y trouve sa place richesse en fibres, protĂ©ines et sucres complexes» coupe-faim et absence, presque totale, de matiĂšres grasses lipides.La proportion de fibres est d’environ de 3 g dans 100 g de baguette standard» et 9 g dans 100 g de pain complet besoins journaliers 25 g. L’équilibre est idĂ©al entre sucres et fibres car ces derniĂšres ralentissent la digestion des glycĂ©mique est rĂ©duit et de fait, l’insuline qui stocke les sucres sous forme de mauvaises graisses n’est pas recette de pain sans croĂ»te et nos astucesCe pain est cuit Ă  la vapeur Ă©ventuellement dans un autocuiseur Thermomix.IngrĂ©dients ‱ Farine 250 g‱ Eau 150 gr 15 cl‱ Sel 1 c Ă  café‹ 2 cuillĂšres Ă  cafĂ© de levure boulangĂšre sĂšche 15 g fraĂźche‱ Eau bain-marie 1,5 l‱ Facultatif huile, cidre, Ă©pices en petite qtĂ©Astuce pour une mie colorĂ©e et au bon goĂ»t de pain cuit au four, ajouter de la farine d’orge ‱ MĂ©langer eau + levure dans le bol pendant 2 min.‱ Ajouter farine + sel et pĂ©trir 2min30.‱ Fariner lĂ©gĂšrement la pĂąte en la sortant du bol. Faire une boule, rĂ©server au chaud dans un plat de forme adaptĂ©e Ă  l’auto-cuiseur 25°C env./1 heurepour faire gonfler le pĂąton.‱ Verser l’eau au fond du bol, y placer le plat et cuire env. 45 min.Astuce dĂ©coupez le pain Ă  l’aide d’un emporte-piĂšces et passez-le au grill du cookeo pendant 5 Ă  7 pain fait maison avantages et inconvĂ©nients ?Je fais mon pain depuis quelques mois, je me sers d’une machine Ă  pain et toute la famille se rĂ©gale ! L’avantage du pain maison est le contrĂŽle de la qualitĂ© et de la quantitĂ© des ingrĂ©dients vous souffrez de maladie artĂ©rielle, si vos reins sont fragiles et pour Ă©viter le phĂ©nomĂšne de rĂ©tention d’eau, vous pourrez rĂ©duire le sel, sans le supprimer totalement. Vous pourrez rĂ©aliser aisĂ©ment du pain avec des farines de riz, de sarrasin, de maĂŻs ou mĂȘme de la fĂ©cule et trouver lĂ  une alternative intĂ©ressante au pain sans gluten du commerce qui est relativement cher. Attention !Le gluten Ă©tant la protĂ©ine de blĂ© qui donne au pain son moelleux et Ă  la mie sa texture alvĂ©olĂ©e, il faut le remplacer par de la gomme de guar», de la farine de caroube» ou de la gomme xanthane». Vous pourrez mĂȘme rĂ©aliser des pains hyper-protĂ©inĂ©s, en rajoutant Ă  la pĂąte des protĂ©ines vĂ©gĂ©tales ou animales comme celles du lait ou du soja. J’aime beaucoup les lentilles, et nous en mangeons souvent Ă  la maison. Cependant, dĂšs que je fais cuire des lentilles dans un grand volume d’eau, elles sont trĂšs bonnes chaudes mais ne conservent pas une tenue impeccable pour les salades froides. Ma solution aux salades de lentilles est donc d’utiliser celles de la marque Lunor qui sont cuites Ă  la vapeur et mises sous vide, tout comme j’ai une super jolie cocotte Clipso toute neuve depuis quelques mois, j’ai osĂ© me dire que les lentilles vapeur, c’est comme les poireaux, les courgettes ou les brocolis, c’est facile et rapide Ă  donc dĂ©posĂ© une gaze sur le fond de mon panier vapeur, ajoutĂ© un verre de lentilles vertes du Puy Bio, ajoutĂ© un fond d’eau dans la cocotte et mis les gaz pour 10 minutes de ? Lentilles pas cuites. Alors j’ai rajoutĂ© 10 autres minutes de cuisson, je suis partie me faire les ongles, et voici ce que j’ai retrouvĂ© au bip de la Clipso, en plus d’une dĂ©licate odeur de cramĂ© dans la cuisine 
.Un fond de cocotte tout cramĂ© car plus d’eau, et des lentilles 
 encore plus sĂšches !Alors qui c’est qui a une bonne astuce autre que celle de continuer Ă  acheter des lentilles cuites pour m’aider Ă  faire cuire mes lentilles Ă  la vapeur ?

viande cuite Ă  la graisse qu on tartine